Wednesday, February 7, 2018

BRUSSELS AIRWAYS

En Belgique, l'histoire se repete. Apres la Generale, SABENA, la debacle Congolaise, le stade qui ne vint pas, le projet musee d'art contemporain, Brussels Airways vient de rejoindre le camps des "loosers". L'ironie etant que ces debacles en serie ont souvent ete notariees par les memes "suspects".

Il est evident que la globalisation n'est pas un exercise "a la carte" et que ce bouleversement socio-culturel va de pair avec des ajustements souvent difficiles. Or en Belgique l'element macro fait defaut tant au niveau de ses institutions que de la DNA dans des domaines aussi divers que la culture ou l'economie. Sans doute eut-il mieux valu prendre l'offre de de Benedetti au serieux, plutot que de subir le demembrement de la Societe Generale  au seul profit de la France. La Belgique a raison d'etre une economie ouverte mais elle a tort d'avoir choisi une gestion qui n'a profite qu'a un provincialisme economique.

Il devient presque inimaginable d'envisager encore des projets mobilisateurs, faute d'ambition sans doute, et de moyens, cela est certain. Qui debarque a Bruxelles est en droit de se demander ou est l'Europe. L"accueil "gares pourrait figurer dans Baudelaire.

On se retrouve donc dans une situation ou la demi mesure l'emporte sur la volonte. Il est helas trop tard pour essayer de rectifier ou de corriger les erreurs accumulees. Brussels Airways ne vaut pas une guerre, cela va sans dire. La peripeitie n'est interessante que parce qu'elle confirme un "mal Belge" qui est systematique. Il n'y pas de remede a defaut de volonte, il n'y a pas de recours a defaut d'ambition.



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