EXIT PASCAL SMET

Il faut féliciter le Secrétaire d'état Bruxellois d'avoir assumé sa (co)responsabilité dans la désastreuse affaire de la présence des maires indésirables, Iranien et Russe, à Bruxelles. 

Il laisse aussi un héritage d'urbanisme peu reluisant, du type Charleroi plus. Après tout il est aussi socialiste.

Cette personnalité, indubitablement intelligente, laisse une succession difficile. 

Il sera interessant de voir si la Ministre des Affaires Etrangères  suivra son exemple et quittera une fonction qu'elle n'aurait jamais du occuper. Après tout, les visas sont de son ressort.

LES IRANIENS A BRUXELLES

Il y a Ispahan qui fait rêver  ....il y a Teheran qui fait peur.

Or on a vu le maire de Teheran (et sa suite) à Bruxelles ou se tenait une réunion de maires, dont personne n'a entendu parler. Il y avait aussi un maire Russe, pour les amateurs.

Tous les participants sont supposés avoir eu les papiers et doccuments d'entrée en règle. On trouve toujours un Schengen obligeant.

Ni la ministre des affaires étrangères , ni le responsable Bruxellois, Pascal Smet, se sont clairement expliqué. L'une brille pars son absence, le second est l'anti Adolphe Max, transformant Bruxelles en tarmac.

Cette nouvelle histoire belge démontre la décrépitude d'un système livré à l'incompétence de présidents de parti qui ne voient pas plus loin que leur misérable arrondissement, offrant des postes à leur concierge (La méthode Trump).

En attendant, les barbouzes Iraniens ont pris leur piéd dans la crasse urbaine de Bruxelles et le maire de Téhéran aura pu laisser sa carte de visite chez Olivier Vandecasteele.

CONNER ROUSSEAU

Conner Rousseau is een van de meest markante figuren in de Belgische politiek. Hij heeft de "look" en de communicatie voor zich. Hij heeft zijn partij een moderne dimensie gegeven.

Jammer dat deze "new look" voorzitter van de SP, niettegenstaande al dat talent, de keuze heeft gemaakt niet uit de kast te springen maar er uit te glijden. Hij heeft een banale erkenning van feiten herleid tot een verhaal op zijn vlaams dat waarschijnnlijk klaar is voor een invoeging in het volgend vlaams canon.

Rousseau heeft genoeg bewezen dat hij een interessante politicus is maar nu dreigt hij crediet te moeten inleveren na zijn ondermaatse "coming out", zonder ironie, plezier of opluchting. Kijkt hij niet naar CNN ?

De geruchten waren al legio en hij heeft de kans gemist om daar gebruik van te maken voor een bevestiging met pit en humor. Wij zijn  in 2023! Moet Vlaanderen nog steeds de pastoor in de bloeiende wijngaard blijven spelen ?

Had Rousseau gekozen voor een angelsaksisch model van progressieve humoristische commentaar dan zou hij universele bijval hebben mogen oogsten bij denkend, creatief Belgie.

Aantrekkelijke mannen verliezen hun sex appeal als ze opkomen als mama boys. Conner ! sex is fun, gay or straight. Nobody gives a damn. Enjoy !

THE MOTHER OF ALL DAMS

If someone thought that we had witnessed the peak of vicious intent in Ukraine, the latest developments might very well represent yet another escalation in the horror which is reinventing itself:  for Russia to inflict, for Ukrainians to suffer and for the world to endure.

From the start, Putin avoided using the terms "war" and "invasion."  Under the cover of his "special operation" he stepped right into the frenzy of razing everything that made Russia still bearable, albeit with question marks. 

Unleashing the floods now and creating another escalation in his preferred dysfunctional methodology, he keeps reinventing the degrees of hybrid warfare. 

The Ukrainian David continues to resist and to stand firm.

Conflicts tend to follow, generally, a predictable pattern, ending in some form of unequal fatigue. This current conflict is more the project of a madman than a deliberate goal-centered enterprise. The Russian Goliath looks like a pathetic obese beast that is no longer able to control its path.

Given that the war crimes pile up it is unlikely that the usual, often well meaning peace makers will appear. The witch's brew has become too toxic to approach it. Zelensky will receive even more support than he does now. The times for restraint regarding the use of armament by Ukraine are over. Putin's grotesque staging in the cavernous Kremlin has already become another silly Pavlovian failed scenario, made for a Chaplin sequel.

Europeans should be made even more conscious of the monster they harbor on their eastern flank. There are still cynical and envious pariahs left who are too happy to coalesce with the false allure of the Russia/China axis. The romance between these two pushovers is a calculated move neither of them enjoys. The pack of unreliable lackeys who show up to cash a check, are yet another form of Narco-politics a la Russe.

The Kakhovka dam bust might well be Putin's Waterloo, the difference being that if one battle was gallant, the present horror of the Russian onslaught is too outrageous to pass scrutiny.

SANDA DIA

Alors qu'Olivier Vandecasteele est devenu le symbole de la victoire du bien, emportée à l'arrachée, Sanda Dia représente la dérive du système.

L'université de Leuven, la Justice, la nébuleuse de clubs équivoques sont tounées à l'aigre. Sanda Dia apparait désormais comme un ange exterminateur d'une société qui n'aurait jamais du quitter le banc des accusés dans des conditions aussi contestables.

Il faut continuer à respecter l'indépendance du pouvoir judiciaire, mais les questions deviennent légitimes quand certaines ambiguités socio économiques traversent la transparance des motifs.

Il est certain que l'issue de ce procès a été téléguidé inconsciemment par une composante sous-jacente, corporatrice/raciste. Le jugement intervenu ne rend pas justice à la victime. Il ne s'agit pas de vindicte mais d'équité. Sans doute ne doit on pas revenir sur cette issue déplorable ni déclencher un ersatz de lutte de classe. A contrario ce procès restera dans les annales comme un exemple de tout ce qui peut aller mal quand on vole à la victime jusqu'à la dignité de sa mort.

OLIVIER VANDECASTEELE

Sa trop longue saison en enfer a pris fin, enfin. Il convient de remercier tous seux qui ont contribué à ce dénouement. Certes les conditions qui ont prévalu n'étaient pas les meilleures. On n'ouliera pas que l'innocence de l'un méritait plus que l'échange avec un individu de mauvais aloi. Un pays se doit de protéger les siens mème si le coût moral est difficile à avaler.

Il faut espérer que le calcul politique ne vienne pas salir une nouvelle fois soulagement et appaisement. Si l'on a du négocer avec le diable il est temps de refermer les portes de l'enfer. La grande discrétion des négociateurs  belges et autres intermédiaires mérite reconnaissance et repect.

HERE COMES DESANTIS

Trump came with a bang. Desantis arrived with a glitch.

Ron DeSantis, governor of Florida, announced he is running for the presidency. He tried to do this with a grand gesture, under the watchful eye of Elon Musk. His chosen Twitter venue imploded...

He and Trump are made of the same cloth. He appears sometimes better informed but what difference does it make if he is just as conservative and malign as his rival? At the end of the day they are both parochial, bigoted and world phobic. The other Republican candidates are mere parsley in this Juggernaut of monsters.

It might be interesting to see how both will try to annihilate one another. DeSantis has the better wife+kids photo-op but Trump has the better troops. They will only agree on one issue, to hasten President Biden's demise.

Biden will take full advantage of the playtime which will befall him, while the Republicans will feast on mutual destruction. The President will nevertheless have his hands full battling issues home and abroad and fighting the age factor and the specter of a Kamala Harris succession, which for some reason would be a mixed blessing to many Democrats who do not warm up to her personality.

The GOP might be reluctant to make Biden's tenure even more shaky, while they have to deal with a royal feud in their own ranks. It sounds like the War of the Roses but there are only thorns there, no flowers.